Un phénomène de société
En futeboleutique, on appelle ça un phénomène de société :
Le Brasileirao bat son plein, chaque soir 22 personnes s'entretuent en bas de la maison et tout le monde a la voix éraillée pendant les quelques semaines qui restent, mais "la rivalité c'est sur le terrain, nous on est là pour montrer l'amour et chanter 90 minutes non stop" : mmh?
Pois é (ben oui) : de nouveaux groupes de supporters (torcida) mettent LE FEU depuis une petite année, comme Urubuzada (Flamengo) qui fait une campagne de don de sang et le Movimento Popular Legiao tricolor (Fluminense) qui encourage, à force de batucada pro, à venir en famille comme au bon vieux temps... Le "Personne ne taira notre amour pour toi Fogo Fogo ô-ô"... Et les guerriers de la fête pour un Vasco campeão....
90 minutes non stop donc . Minimum.
Mais revenons aux basiques : leur modèle à tous, c'est quoi? les barras bravas argentines bébé !
Il y a des fondamentaux qui ne se perdent JAMAIS.
Et des débats, parmi les comunautés de mulheres-que-amam-futebol, qui volent très haut :
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